Comprendre le nouveau paysage : le système d'échange de quotas d'émission de l'UE et son impact sur le transport maritime
Le système d'échange de quotas d'émission de l'Union européenne (EU ETS) est depuis longtemps la pierre angulaire de la stratégie climatique de l'UE, mais avec sa récente expansion pour englober l'industrie du transport maritime, des entreprises comme Peters & May se trouvent à un moment charnière. Cette extension, effective à compter du 1er janvier 2024, marque une étape significative vers l'intégration des émissions maritimes dans le cadre plus large des objectifs climatiques européens.
Comment fonctionne le SEQE-UE pour le transport maritime
- Plafonds d’émission : Un plafond pour les émissions de gaz à effet de serre est fixé, établissant une limite finie au sein du système commercial.
- Allocation des allocations : Les compagnies maritimes reçoivent des quotas d’émission, quantifiant le niveau d’émissions autorisé.
- Flexibilité commerciale : Les entreprises efficaces peuvent échanger leurs quotas excédentaires, incitant ainsi à une réduction des émissions.
- Sanctions pour non-conformité : Les entreprises qui dépassent leurs quotas sont confrontées à des conséquences financières, ce qui les incite à adopter des technologies plus vertes.
- Ajustements périodiques : L’EU ETS évolue, s’adapte à l’évolution des circonstances et aux ambitions climatiques croissantes.
Implications pour l'industrie du transport maritime Avec cette expansion, les grands navires (plus de 5000 2023 tonnages bruts) tombent sous le coup de l'EU ETS. Le système couvre des itinéraires importants, y compris les voyages intra-UE et les portions de voyages liées à l'UE. L’inclusion du transport maritime devrait se traduire par des suppléments, influencés par divers facteurs tels que les coûts de conformité et la dynamique du marché. En mai 90, le prix des quotas d’émission atteignait environ 2 € par tonne de COXNUMX, illustrant l’impact financier tangible sur les opérations maritimes.
L'approche proactive de Peters & May Nous suivons de près la situation et ses éventuelles implications financières. Notre engagement en matière de transparence signifie que nous tiendrons nos partenaires informés de tout supplément mis en œuvre par les compagnies maritimes.
Notre partenariat avec Planet Mark Parallèlement à ces changements réglementaires, nous sommes ravis d'annoncer notre partenariat stratégique avec Planet Mark, une organisation estimée dédiée à la durabilité et à la réduction des émissions de carbone. Cette collaboration témoigne de notre détermination non seulement à nous conformer au SEQE-UE, mais aussi à être un leader en matière de pratiques de transport maritime durables.
L'expertise de Planet Mark en matière de stratégies environnementales sera déterminante dans la gestion de ces nouvelles réglementations. Ensemble, nous nous engageons à mettre en œuvre les meilleures pratiques, à favoriser l'innovation et à garantir que nos opérations reflètent les normes de durabilité les plus élevées. Ce partenariat constitue une étape cruciale dans notre parcours vers la gestion de l’environnement et s’aligne parfaitement sur la philosophie de l’EU ETS.
Et maintenant, direction Spa Alors que nous nous adaptons à l'évolution du paysage de la réglementation des émissions, notre collaboration avec Planet Mark souligne notre conviction dans le pouvoir de l'effort collectif pour forger un avenir durable. Chez Peters & May, nous nous engageons à avoir un impact positif sur l'environnement et pensons que grâce à des actions responsables, nous pouvons contribuer à une planète plus propre et plus verte.